Oïdium du blé : à régler en même temps que la septoriose
BAYER
La lutte fongicide permet globalement une bonne maîtrise de l'oïdium si les traitements sont effectués dès les premières manifestations de la maladie, à partir du stade 1 à 2 noeuds avec des produits spécifiques.
« Optimiser les traitements en choisissant une solution polyvalente »
La connaissance de la sensibilité variétale et les observations sur le terrain aident à déterminer les dates d’intervention si le risque oïdium est avéré. Néanmoins, cette maladie est surtout présente en Champagne et très aléatoire dans les autres zones céréalières du nord de la France. Il me semble donc important, en cas de risque modéré, de viser en même temps la septoriose dans une logique d’optimisation des passages.
La lutte fongicide permet globalement une bonne maîtrise de l’oïdium si les traitements sont effectués dès les premières manifestations de la maladie, à partir du stade 1 à 2 nœuds avec des produits spécifiques.
Néanmoins, l’oïdium est identifié comme une maladie secondaire. Le choix se porte alors sur une solution qui règle à la fois l’oïdium et surtout la septoriose, maladie la plus nuisible.
Si le risque est élevé, privilégier le choix d’Input® ou Thesorus®, associant le prothioconazole à la spiroxamine, anti-oïdium spécifique.
Toutes les solutions Bayer contenant du prothioconazole sont efficaces en positionnement 2 noeuds pour contrôler le complexe de maladies présentes à cette période de développement du blé.